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Rappel rapide avant les news : attention, pour les reviews de films et de livres, ce sont NOS AVIS, et ils n'engagent QUE NOUS, et des fois on est TRÈS MÉCHANTS!

16 janvier 2019

SALON DU VAMPIRE 5E EDITION : VAMPIRES EN TOUS GENRES (2019)
    Waw c'est déjà 2019 ?
    Je sors brièvement de ma caverne pour mentionner que je viens de découvrir qu'il existait un Salon du Vampire depuis 2010. C'est officiel, je dois faire réparer mon minitel, je crois que mon retard est un peu plus important que je ne le pensais...

    La 5e édition du Salon du Vampires, donc, aura pour thème « Vampires en tous genres » et se déroulera du 2 au 3 février 2019 à la Maison Ravier, 7 rue Ravier, à Lyon.

    Au programme, des livres (enfin je suppose, je l'ai trouvé dans une liste de salons du livre...), mais aussi des tables rondes avec de nombreux romanciers, essayistes, scénaristes et dessinateurs, dont deux têtes d'affiche seront Joann Sfar et Arthur de Pins.

    https://lyonbeefsteakclub.com
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1er mai 2018

FILM : What We Do In The Shadows (2015)



Le film est un muckomentaire sur la vie privée de vampires, une comédie tout en deuxièmes degrés et en humour décalé, qui sous-joue toute les situations jusqu'à l'absurde. Le film commence par faire une synthèse de tous les clichés du vampire au cinéma et les mixe joyeusement avec les standards de la télé-réalité. Certes, le concept n'est pas nouveau, mais l'approche néo-zélandaise est fraîche, et les personnages assez attachants. Et du coup, eh bien, ça marche plutôt bien. Le revers du format de documentaire, c'est que le rythme du film ne s'envole jamais. C'est, finalement, une longue série de sketchs inégaux ; il y a des scènes savoureuses et d'autres qui se traînent un peu. En bref, What We Do In The Shadows est une transfusion de sang frais qui, sans être transcendantale ou parfaite, ne démérite pas de son statut de film culte. Mais si vous êtes un tant soit peu sensible des oreilles comme moi, fuyez la VF, apparemment unanimement décriée. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

23 novembre 2017

LIVRE : Le Vampire de Khepesh (2011)



J'ai mis du temps avant d'oser ouvrir un Harlequin, même vampirique ; j'ai été agréablement surprise. Pas miraculeusement surprise au point de devenir une mordue de la vampiromance, mais j'ai sincèrement trouvé le livre plutôt intéressant. L'histoire est plutôt prenante, et il y a une ambiance, un parfum d'authenticité dans les détails. Après, on est quand même dans des histoires de dieux égyptiens vampires avec plein de grosses ficelles de la romance, mais je suppose que ça fait partie du cahier des charges du genre. En bref, Le Vampire de Khepesh n'est pas autant le cliché Harlequin que l'on pourrait croire, et l'on pourrait même dire que contrairement aux préjugés, c'est autant un roman qu'une romance.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

14 octobre 2017

BD : Vampires 2 (2002)



Du tableau en clair-obscur à la lumière très travaillée à la BD en aplats classique, en passant par des références aux mondes du cinéma et de la peinture, il y en a pour tous les goûts, et toujours avec goût. Soyons plus simples : cet album est une véritable œuvre d'Art, dotée d'un très très beau papier, légèrement glacé, pour que les couleurs restent bien profondes et vous sautent aux yeux. Les illustrations sont un régal, comme autant de respirations entre les histoires, la pleine page faisant ressortir les lignes, les couleurs, les contrastes. Les histoires ne sont pas en reste, visuellement très évocatrices, avec humour, avec émotion — ces histoires durent bien au-delà que le temps de leur lecture. Bref Vampires 2 est un recueil de BD de qualité, et vite vite j'ai commandé le Tome 1.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

14 octobre 2017

Manga : Vampire Kisses (2007)



C'est un manga qui ne se prend pas au sérieux, fun, pétillant, entraînant et dynamique. On reste dans la romance de lycée, mais comme c'est plein d'humour, avec une héroïne un peu clown, c'est plutôt sympa à lire, particulièrement la première partie. Les dessins de Rem sont pour moi le point fort du manga : ils sont percutants, avec des personnages expressifs et bien différenciés, et bien adaptés à l'histoire. La mise en page est dynamique, les décors et les textures bien équilibrés, avec un bon contraste. Dommage qu'un autre artiste prenne le relais au milieu du tome 2. En bref, Bloody Prince est un manga léger, mais entraînant. À voir si ça continue si l'adaptation se poursuit.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

10 octobre 2017

AUTOPROMO: Le mois des Indés



Je brise le silence radio de ces derniers mois pour annoncer que deux de mes romans font partie du Mois des Indés pendant tout le mois d'octobre sur Amazon.fr ! L'Île de la Groac'h et Les Fantômes de Grison sont à 0,99€ au format Kindle, et vous pouvez aussi les découvrir en format papier sur ma page auteur !

Je suis fièèèère ! :)

5 août 2017

RETROGAMING : Castlevania IV (1991)



Mise à part un design un peu « gonflé » pour le personnage, le jeu est très beau pour la SNES, très bien détaillé... un peu trop, peut-être, on frôle le surchargé de chez surchargé ; mais maintenant on est habitué et on ne se demande même plus où sont les plateformes, on essaye. Les contrôles restent le même principe que les jeux précédents, on saute toujours et on lance toujours le fouet, mais en mieux. Non seulement on bouge à une vitesse normale, mais on peut frapper dans toutes les directions, s'accrocher tel un Tarzan Transylvanien, et marcher à genoux. En général on a le plaisir d'un bon challenge de jeu de plate-forme, et un peu moins la sensation de torture ; c'est peut-être l'habitude. Ou une forme jeu vidéo du syndrome de Stockholm. Ou les mots de passe qui fonctionnaient. Allez savoir. En bref, Super Castlevania IV est un Castlevania maniable, assez plaisant et surtout finissable, ce qui est une très grande satisfaction. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

11 juin 2016

Manga : Bloody Prince (2009)



Il est difficile de trouver un angle original pour ce genre qui a déjà tout exploré et son contraire, mais Bloody Prince se défend plutôt bien en proposant une histoire légère et qui ne se prend pas au sérieux. Malgré l'ambiance légère et comique, il y a un message latent de tolérance : les vampires et des succubes sont traités comme des ados différents qui ont besoin d'aide. Côté dessin, c'est plutôt plaisant, avec un lineart bien défini et de beaux contrastes et textures, même si on a un peu de mal à distinguer les personnages secondaires les uns des autres, en particulier les garçons… En bref, Bloody Prince est un manga qui ne se prend pas la tête et avec lequel on passe un bon moment.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

27 mai 2017

LIVRE : Dracula l'Immortel (2009)



Adressons le problème tout de suite : faire une suite comme celle-là à Dracula, c'était très très risqué. Parce que voilà : il a fallu changer le roman d'origine. Et ce n'est pas le point de vue d'un Dracula qui se sentirait lésé, l'excuse est que Bram Stoker s'est simplement trompé et tous les points de vue de l'histoire, racontés à la 3e personne donc de façon moins personnelle, nous le confirment. Pour ceux qui ont aimé le roman d'origine, cette rectification générale provoque une dissonance cognitive, d'autant plus forte que la réécriture est bien moins intéressante, particulièrement pour les anciens personnages comme Jonathan Harker et Van Helsing. Au fil des chapitres, on se retrouve avec des parodies de personnages connus et aimés qui se font déchoir et éliminer les uns après les autres (et qu'on n'a pas envie de suivre dans cette nouvelle incarnation parce qu'on n'est pas masochistes), et des nouveaux personnages un peu boiteux qu'on n'a pas envie de suivre parce qu'ils ne sont pas à la hauteur de leurs prédécesseurs. En bref, Dracula l'Immortel n'est pas nécessairement un mauvais roman, mais ce n'est certainement pas un cadeau à faire à un fan de Dracula.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

28 avril 2017

SÉRIE TV : Preacher (2016)



Preacher bénéficie d'une photographie époustouflante : les couleurs, le cadrage, la lumière du soleil sont ici mis au service de l'ambiance pesante, malsaine et légèrement pervertie d'Annville. Et ce malgré quelques scènes bien gore dont je ne raffole d'ordinaire pas mais qui sont parfaitement intégrées à l'humour noir, second degré, décalé et irrévérencieux qui fait toute la personnalité et la force de la série. Cela dit, l'histoire se met en place avec une lenteur escargotesque : les premiers épisodes sont lents, longs, la trame narrative ne va nulle part ou part dans tous les sens (1881???), le rythme a du mal à se trouver. Fort heureusement, les personnages sont attachants, et très bien joués, et aident à dépasser les premières hésitations. En bref, Preacher est une série avec beaucoup d'atouts dont une personnalité très forte et attachante, mais dont la première saison donne un peu l'impression d'être une longue exposition qui se cherche. On attend la suite avec une certaine curiosité. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

4 février 2017

LIVRE : Les interprètes de Dracula, le « saigneur » des Carpates (2011)



Tout d'abord, le livre est superbe. Il est édité sur un papier de qualité, et regorge de nombreuses photos, portraits, images de films et affiches en tous genres — un vrai régal pour les mirettes. Le format est un peu plus petit qu'un A4 mais reste assez grand pour être lisible, grâce à une mise en page bien aérée. Hélas, pour pouvoir offrir autant d'illustrations, le texte a sans doute été tronqué pour gagner de la place : l'on y trouve du coup des approximations et des raccourcis un peu bizarres, et quelques erreurs historiques... sur Dracula. Oops. En bref, Les interprètes de Dracula, le « saigneur » des Carpates est un super condensé de Dracula au cinéma, magnifiquement illustré et plutôt bien recherché et commenté, et on peut bien lui pardonner quelques erreurs et approximations.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

20 janvier 2017

ROMAN : Blood Song (2010)



Le roman commençe plutôt bien, l'univers alternatif où les surnaturels (vampires, loups-garous, médiums...) existent au grand jour est plutôt bien présenté et l'introduction de l'héroïne est assez prenante. Hélas, on perd rapidement le fil : non seulement la même scène se répète en boucle et des trous de logique apparaissent clairement, mais les mystères qui faisaient avancer l'intrigue sont résolus hors-champ, ou tout simplement oubliés. Ils laissent place à un triangle amoureux ennuyeux et à la révélation que Célia est en fait… une créature improbable dans ce monde, dotée du pouvoir d'Appeler les Hommes à l'Aide. Dommage. En bref, Blood Song possède un bon potentiel grâce à l'étendue de son univers mais il largue ses lecteurs au milieu de l'intrigue pour aller batifoler dans une couverture de roman Harlequin et tomber dans l'absurde involontaire.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

17 janvier 2017

« Chus pas morte », comme dirait Granny Weatherwax.
C'est juste que 2016 s'est fini un peu rudement pour ma famille, mais j'ai encore des vampires à commenter.

Van Kiwing

16 octobre 2016

RETROGAMING : The Castlevania Adventure (1989)



C'est bientôt Halloween, c'est l'occasion de se faire peur avec des mauvais jeux ! Et j'ai exactement celui qu'il nous faut : The Castlevania Adventure ! Non sérieusement, ce jeu est un monstre. Christopher Belmont est deux fois plus lent que Simon Belmont sur PAL, et ses sauts sont toujours impossibles à ajuster. Bien sûr, le jeu entier consiste à sauter sur de plates-formes qui bougent et qui tombent. Les ennemis vous poussent au moindre contact, et dès qu'il y a plus de trois items sur l'écran, un petit lag de la mort apparaît et rend le jeu encore plus lent ! Petite touche délicate, le fouet perd sa force et sa portée dès qu'on est touché ! On ne peut se consoler qu'avec les graphismes, plutôt beaux, considérant qu'on est sur Game Boy. En bref : je n'ai pas du tout, du tout, du tout du tout du tout aimé l'expérience The Castlevania Adventure. Le jeu est à éviter, ou à réserver aux fans extrême hardcore (et encore). (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

2 octobre 2016

RETROGAMING : NTSC VS PAL
    Je savais que la plupart des jeux japonais et américains, ayant un format NTSC, avaient été ralentis pour être convertis "facilement" au format PAL européen, mais je n'avais jamais, jamais, imaginé à quel point avant d'avoir eu l'occasion d'essayer Castlevania en NTSC. Le jeu devient maniable et... quel est ce mot... oui, il devient... amusant ! Bon, il reste dur et frustrant aussi, ça ne change pas vraiment, mais je conseille d'essayer la version non-europénne si vous en avez l'occasion, parce que l'expérience de jeu devient complètement différente (et la musique, aussi, dans sa vitesse et sa tonalité originale). En bref : toutes mes plaintes et râlages sur la maniabilité éléphantesque des Belmont est réservée aux versions PAL des jeux anciens (NES principalement). Comme quoi, tout arrive, même un Simon Belmont rapide.
    Van Kiwing

28 septembre 2016

ROMAN : Je suis le sang (2016)



Mettre le lecteur dans les bottes victoriennes de Bram Stoker — l'auteur de Dracula — c'était carrément un pari gonflé, parce que bon, Bram Stoker VS Jack the Ripper, ça évoquerait plutôt les cross-overs Universal plus ou moins réussis des années 50. Mais, malgré les libertés prises pour accommoder la situation de départ, le livre est très bien documenté sur son époque, le fond historique est solide, et les monstres ne sont pas toujours où l'on croit qu'ils se trouvent... En bref, et en dépit d'une prose peut-être un peu plate par endroits, Je suis le sang est un fascinant voyage vampirique sur la conception d'un roman, l'obsession d'un auteur, la traque des modèles et des inspirations, et leur soif ardente de reconnaissance.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

4 août 2016

RETROGAMING : Castlevania III : Dracula's Curse (1990)



Quelqu'un chez Konami a dû réaliser que l'idée de devoir traîner un Belmont de niveau en niveau allait finir par lasser, parce que le jeu propose trois nouveaux personnages jouables, Grant, Syfa et Alucard, chacun avec des compétences complémentaires. Dracula's Curse reprend aussi le concept des tableaux successifs, mais y ajoute son autre grande innovation : le parcours est variable selon les choix du joueur. Même si l'on doit tout recommencer, on peut explorer tous les chemins possibles et toutes les versions des niveaux afin de trouver le meilleur chemin pour les meilleurs personnages, et avoir un jeu différent chaque fois. Bien sûr le jeu reste dur, mais dur avec des options, c'est un challenge juste un peu moins frustrant que les autres, et bien plus gratifiant. En bref, Castlevania III : Dracula's Curse est une excellente addition à la série des Castlevania sur NES, avec un bon gameplay fidèle à l'esprit d'origine, tout en renouvelant l'intérêt et en enrichissant la durée de vie du jeu et l'univers. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

5 juin 2016

RETROGAMING : Castlevania II : Simon's Quest (1988)



Au premier contact, l'ambiance du jeu rappelle beaucoup celle de son prédécesseur : si le graphisme a été amélioré, on retrouve la même maniabilité frustrante au mouvement bien lourd. Le jeu est toujours très, très, très dur, avec le mode « nuit maudite » qui rend tout bien pire. Les continus sont infinis, mais nous ramène bien sûr pile au milieu des ennemis. Le jeu n'a pas de sauvegarde, mais un système de password, avec 16 caractères très faciles à mal recopier. La grande innovation de Castlevania II est d'offrir une énorme partie d'exploration, mais au lieu de donner des indices, les villageois nous mentent, et ceux qui ne mentent pas sont incompréhensibles. Il paraît que c'est dû à la traduction américaine, mais résultat le jeu est impossible à finir sans soluce. En bref, Castlevania II est un jeu difficile mais qui n'est ni mauvais ni ennuyeux dans son principe. Néanmoins dans sa traduction anglaise, c'est une forme de torture intéressante. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

27 mai 2016

Autopromo :


Encore du retard... encore une bonne raison. ^.^ Mon roman « Les Fantômes de Grison » participe au concours Amazon Kindle « Les Plumes Francophones ». Ce n'est pas une histoire de vampires, mais de fantômes, de chats, et de chats fantômes... n'hésitez pas à y jeter un œil et commenter si cela vous tente !

Les Fantômes de Grison (Kindle)

Côté vampires, j'ai finalement renoncé à tourner en rond dans Castlevania II : Simon's Curse (1988), je devrais enfin faire un commentaire sur le jeu bientôt. J'espère.

29 avril 2016

Autopromo :


Et aussi la raison pour laquelle je prends encore du retard... mon groupe Estrange Waters a sorti son deuxième album de démos sur Bandcamp. Ça n'a pas grand chose à voir avec les vampires, mais si vous aimez les chansons sur la mer, les sirènes, les selkies, les tempêtes et les naufrages, n'hésitez pas à aller y jeter un œil ! Ou une oreille... c'est vous qui voyez. :)

Songs of the Water

9 avril 2016

Comic book : Buffy The Vampire Slayer : Tales (2012)



Tales m'a rappelé à quel point l'univers de Buffy était riche et complexe, et cette petite plongée dans ce kaléidoscope vampirique a été très rafraîchissante, bien que sans l'humour spécifique à la série, l'ambiance ne soit pas à la joie. Les histoires sont certes courtes (une dizaine de page par récit), mais chacune est un condensé intense à l'impact émotionnel très fort, qui retranscrit bien le poids des siècles du combat de la Slayer depuis la toute première, ainsi que les motivations des vampires. Les graphismes sont très divers, mais toujours léchés ; chacun est fidèle à la série à sa façon, mais tous font directement référence à l'époque où se situe l'action. Qu'on aime ou pas le design, on ne peut pas nier la recherche des choix et la justesse avec laquelle ceux-ci servent les récits. En bref, Buffy The Vampire Slayer : Tales est 296 pages de génialité vampirique hautement recommandées, que l'on soit fan de la série ou non.
(voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

25 mars 2016

Manga : Bloody Kiss (2004)



Le dessin est plaisant, mignon, sans être ni particulièrement recherché non plus ; les personnages ont de grands yeux pas très expressifs, et il y a beaucoup de personnages "flottants" dans des cases vides. L'histoire, sans être originale, se laisse lire, ou plutôt survoler - comme c'est un type "romance répétitive" bien prévisible, une fois qu'on a passé l'exposition, on devine pratiquement tout à l'avance. C'est agaçant, mais pas autant que ce fichu trope de romances adolescentes sur les vampires abusifs présentés comme attirants et "gentils". Néanmoins, le vrai problème ici vient probablement du fait que l'histoire reprend les mêmes situations répétées en boucle. En bref, Bloody Kiss est un manga correct, qui ressert du réchauffé sans être vraiment fascinant. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

15 mars 2016

Manga : Vampire (1996)



Ces huit épisodes (quatre par volume) se délectent de mettre en scène de grands noms vampiriques et s'offrent également le luxe de prendre comme décor des lieux moins courants comme le palais d'un sultan, ou le far west. Chaque volume bénéficie ainsi d'une grande diversité d'ambiances et, nous, on se régale de cette promenade à travers un musée vampirique. Le voyage est bien dosé : s'il avait été plus long, la répétition de la construction de chaque épisode aurait lassé le lecteur, et la série se serait vite essoufflée. Le graphisme est « gothique », très fouillé, très beau, très poétique, quelque fois très épuré et d'autres très surchargé, presque lyrique, mais hélas pas toujours très lisible. Les personnages sont présentés de façon assez intéressante, au sens où les humains sont des monstres avant même d'être vampires, mais ils sont aussi un peu beaucoup caricaturés, et grandiloquents à la limite du grandguignolesque. Néanmoins, la couverture nous avertissait déjà que l'on ouvrait une sorte de horror soap opera, alors il fallait s'y attendre. En bref, Vampire est exactement ce que la couverture annonce, un manga Shojo d'inspiration gothique-noir, avec beaucoup de potentiel et une passion certaine dans la réalisation. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

17 février 2016

Je suis sérieusement perdue dans Castlevania II.
Van Kiwing

13 décembre 2015

Un sale rhume et la vraie vie m'ont fait prendre du retard dans mes reviews. =(
Mais je suis toujours là et je devrais reprendre bientôt... avec de la chance, et si j'évite les virus.
Van Kiwing

14 novembre 2015

FILM : Only Lovers Left Alive (2013)



Je voulais vraiment aimer ce film. Alors oui les images sont belles, les plans bien filmés, les acteurs charismatiques, et une certaine ambiance romantico-musico-hipster imprègne chaque scène. Mais les personnages sont plats, indolents ou si déconnectés que leurs relations pourtant censées être fortes ne se ressentent pas à l'écran. Il n'y a pas d'histoire ; des choses arrivent, mais non seulement c'est extrêmement prévisible, ou incohérent, mais aucune conséquence ne dépasse les cinq minutes ; tout est traité avec la même quasi-indifférence, que ce soit l'acquisition d'une guitare antique ou un meurtre. Les dialogues sont une succession de trivia historique — chose que pourtant j'adore en temps normal — sans connexion, sans déroulement, sans rien à raconter. En fait, le film est une longue exposition des quatre mêmes détails, encore et encore et encore, ad nauseam aeternam, bis repetita non placent. En bref, Only Lovers Left Alive aurait pu être un court métrage de génie, mais sous forme de film de deux heures, il est terriblement, horriblement, inexorablement pompeux, creux, et ennuyeux. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

29 octobre 2015

FILM : Priest (2011)



Priest impressionne par ses décors et sa mise en scène évocateurs, grandioses et dépouillés à la fois, servant bien l'univers post-apocalyptique à la fois high-tech et en ruine, déchiré par le conflit entre humains et vampires, dont le design « alien » est très intéressant. L'action est appréciable, bien filmée, bien gérée, les armes religieuses (un assortiment de croix) sont bien réinventées. Hélas, derrière cette belle façade western-futuriste-cyberpunk, l'on mesure la pauvreté du scénario, reposant sur de grosses ficelles narratives et des dialogues navrants comme vague lien entre les scènes d'action : si la description de l'univers pourrait remplir un manuel, le synopsis du film ne dépasserait pas les trois lignes. En bref, Priest est un bon divertissement, avec un très bon potentiel dans son univers et son design, mais qui a oublié de finir le reste. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

13 octobre 2015

FILM : Hôtel Transylvanie (2012)



Hôtel Transylvanie est un film d'animation pour toute la famille, aux graphismes d'une qualité impressionnante : designs, expression des visages, animation et décors sont très réussis. L'imagerie, mais aussi les voix et la musique d'ambiance (mais PAS les chansons) (surtout pas cette horrible chanson finale) ; tout est fait évoquer la période classique des films d'horreur Universal, mais dans un contexte amusant. Le scénario n'est pas le plus original ni le plus fouillé (et certainement pas un de mes préférés) mais il fonctionne bien comme base : la trame est entièrement basée sur le développement des personnages et leurs relations. Hôtel Transylvanie prouve donc que le cinéma pour enfants n'est pas nécessairement simpliste... même si l'argument aurait été plus fort sans les blagues d'humour douteux pipi-caca-prout. En bref, Hôtel Transylvanie est un film à partager en famille ou avec ses amis, plein d'humour et de bons sentiments, et de temps en temps ça fait du bien. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

28 septembre 2015

FILM : Dracula Untold (2014)



Que ce soit clair, la promesse d'un film d'action est assumée et plutôt aboutie, et les scènes de combat sont distrayantes et bien menées. La promesse de la photographie est également largement tenue : les images sont souvent magnifiques, des décors aux costumes jusqu'aux mouvements de caméras. Les effets, en particulier les scènes de transformation en chauve-souris, sont très réussis. Luke Evans campe bien le personnage de Vlad en monarque guerrier en quête de rédemption, mais à côté de lui, les personnages secondaires sont fades, voir caricaturaux. Et pourtant, on s'ennuie... le coeur du problème se trouve dans le scénario qui, voulant être plus que « juste un film d'action », fait reposer toute la tension dramatique sur un suspense qui n'existe finalement pas, puisque tout le monde sait dès le début que Dracula va devenir un vampire. C'est même écrit sur l'affiche, pourquoi traîner en longueur sur des points que l'on devine déjà à l'avance ? En bref, Dracula Untold est un divertissement avec de bons moments, mais qui se veut trop sérieux et reste trop formaté pour vraiment emballer le spectateur. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

18 septembre 2015

SORTIE LITTÉRAIRE : Colliers de Velours (2015)


Les Éditions Otrante publient Colliers de Velours, une anthologie sur la plus célèbre Morte Amoureuse de l'époque romantique. Le recueil présente treize textes de 1613 à 1950, retraçant l'évolution du récit « vampirisé » de reprises en réécritures, à travers l'Europe et jusqu'au-delà de l'Atlantique. Colliers de Velours est disponible sur www.otrante.fr.

28 août 2015

AUTOPROMO: L'Île de la Groac'h (2015)


Cela ne concerne pas les vampires, mais j'en profite pour annoncer que mon roman L'Île de la Groac'h participe au « Concours Rentrée Kindle des Auteurs Indés » sur Amazon France. ^.^
Van Kiwing

« Azura, dix-huit ans, ne veut qu'une seule chose dans la vie : ne jamais avoir à quitter « son » île, en Bretagne, où elle vit avec ses grands-parents et à moitié dans un monde imaginaire. Jusqu'au jour où elle tombe, très littéralement, dans un monde d'apprentis Héros et de créatures mythologiques (ainsi que musicales) : leur île, si similaire à celle d'Azura, est lentement mais inexorablement dévorée par les Ombres. Azura va avoir besoin d'aide si elle veut sauver cette île, elle-même, ses nouveaux amis, et rentrer avant qu'il ne soit trop tard. Et dans quelle direction aller quand les chemins autrefois familiers se dérobent sous vos pieds ? »

28 août 2015

SÉRIE : Dracula (TV series) (2013)



La série aurait pu être formidable ; hélas, le résultat n'est pas à la hauteur des espérances. Il y a de bons éléments, principalement dans le casting : Jonathan Rhys Meyers, Nonso Anozie et Victoria Smurfit sont les points positifs de la série, mais cela ne suffit pas à compenser le reste. Les dialogues sont navrants, et le faux accent américain de Dracula est une hérésie. Le décor est gâché : les scènes de nuit sont baignées d'un éclairage fortement artificiel, tout est sombre, tout est jaune, et tout se ressemble. Le rythme est terriblement lent, laborieux, la tension n'arrive pas à monter. L'histoire n'a aucun sens, les mauvaises idées s'enchaînent aux décisions stupides, au point qu'il est difficile de suivre les motivations de chacun au-delà du fait qu'ils sont tous trop bêtes pour survivre. En bref, Dracula était une série prometteuse qui malheureusement retombe à plat comme un soufflé trop cuit. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

12 août 2015

RETRORETROGAMING : Dracula (1986, ZX Spectrum)



Eh oui, ce jeu a eu raison de moi, et je n'ai pas dépassé la première partie. D'une part, parce qu'il est difficile et cela finit par être frustrant. D'autre part, parce qu'il est écrit (sur ZX Spectrum en tout cas) en lettres gothiques jaunes sur fond bleu. Je vous jure. Regardez les captures d'écran. Mes yeux ne l'ont pas supporté très longtemps...
Il contient également certaines images graphiques illustrant les nombreuses morts dans le jeu qui, bien que soft pour de l'horreur, finissent par être démoralisantes à la longue. À réserver, donc, aux amateurs de Text Adventure Gothic/Horror de haut niveau.
Van Kiwing

4 août 2015

RETRORETROGAMING : Dracula's Castle (1984, ZX Spectrum)



L'aventure commence dans votre chambre, et en ramassant des choses aussi diverses que des draps, des épées, des allumettes et du lait, vous devez déterminer quand utiliser quoi où, et surtout ce qu'il ne faut pas faire pour mourir prématurément. Vos actions valent des points (même quand ça ne sert à rien) et comptent pour le score final. Rien de très excitant me direz-vous ? Et bien pourtant, c'est une excellente Text Adventure (en anglais, bien sûr). Le jeu comporte certains passages en temps limité mais, dans l'ensemble, le rythme est assez confortable pour tester plein de choses et profiter des réparties humoristiques en cas d'action délirante. Le jeu n'est ni effrayant ni gore, à l'exception peut-être d'une petite pointe de frisson dans la chapelle ou le sous-sol. Les énigmes sont d'un niveau moyen, ni trop dures ni trop évidentes, et rendent Castle Dracula sympathique à faire, puis à refaire afin d'améliorer son score. En bref, un très bon jeu pour une prise de contact avec les Text Adventures des 80ies.
Van Kiwing

18 juillet 2015

SÉRIE : Being Human (US, S1) (2011)



Being Human UK était une série avec de petits moyens, mais une écriture solide, des personnages attachants et une très bonne interprétation. Being Human US en est, pour sa première saison en tout cas, l’inverse : les moyens sont clairement là, mais tout le reste rame très dur pour trouver son identité. Et moi, je suis partagée. Pour moi, le défaut principal de la transposition outre-atlantique est l’embellissement général. Ici, même les figurants sont parfaits, ils vivent tous dans de belles et grandes maisons, et tout est propre — mais je trouve que c’est complètement manquer la base fondamentale d’une série qui s’appelle « Être Humain ». Dans la même veine que l’embellissement, les personnages sont lissés, simplifiés, presque aux limites de la caricature, gênés par leurs racines britanniques trop présentes. D'un autre côté, la photographie est belle. Les effets sont aussi beaucoup plus réussis. Le casting n’est pas mauvais du tout, et les acteurs sont de plus en plus à l’aise au fur et à mesure que la série s’éloigne de l’original. En bref la série américaine a ses défauts, mais elle fait beaucoup d'efforts pour les dépasser et elle ne peut que s'améliorer une fois bien distincte de sa grande soeur. À suivre, donc, pour les trois saisons suivantes. (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

7 juillet 2015

RETROGAMING : Master of Darkness (1992)



Quand je dis « de type Castlevania » je veux dire « clone de Castlevania ». Le gameplay est le même, depuis les escaliers jusqu'aux poulets potions de vie dans les murs, en passant par les armes de jet à ramasser qui perdent en puissance si on ramasse la mauvaise. Cependant, le jeu est beaucoup plus facile que son modèle : on trouve plus souvent des recharges d'énergie dans les niveaux, les ennemis enlèvent moins de points, le temps limité est beaucoup plus confortable, et surtout, surtout, le personnage est plus maniable (et en bonus, les graphismes sont beaux). Le jeu n'est tout de même pas si facile : les ennemis sont nombreux et reviennent à l'infini, et certains ont des trajectoires random bien énervantes. Les quinze « stages » contiennent un peu d'exploration (pas trop, le temps est toujours limité), quelques énigmes, et un labyrinthe au round 5 qui est réellement casse-tête. En bref, Master of Darkness est un bon jeu de plates-formes 2D, idéal pour tout ceux qui n'ont jamais réussi à finir Castlevania (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

29 juin 2015

RETROGAMING : Castlevania (1986)



Comment décrire le premier Castlevania...? « Difficile » me semble être un euphémisme. Il n'est pas « très difficile », ni « atrocement difficile ». Ce Difficile est du niveau de « arrache moi les dents sans anesthésie ça ira j'ai joué à Castlevania je peux supporter la douleur ». Oui, c'est ce genre de Difficile. La musique et l'animation sont plutôt agréables et contribuent à créer l'atmosphère mythique du jeu. Le design, par contre, est plutôt du genre à vous faire saigner les yeux : il y a de la texture au sol, et aux murs, et au plafond, et tant pis si c'est fluo, que ça alourdit la pièce et qu'on ne distingue plus les plates-formes, ça fait riche. Et ce n'est pas le seul problème à surmonter : le jeu est en temps limité, Simon Belmont marche et saute comme s'il avait les pieds dans de la mélasse, le fouet est programmé avec une seconde d'élan, il faut maîtriser la logique des escaliers, le château est un véritable safari de créatures mortelles... Malgré tout cela, le jeu est laborieux, mais n'est pas totalement impossible. En fait, il est même assez prenant si on aime le challenge et qu'on n'a pas peur de laisser sa console allumée... car sans sauvegarde, ni password, vous ne pouvez compter que sur les continus infinis (qui vous dépouillent de vos bonus, bien sûr)... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

20 juin 2015

WEBSERIE : Carmilla Saison 2 (2015)

Avis aux fans de Carmilla : la webserie revient pour une deuxième saison, qui vient de commencer. Six épisodes sont disponibles (à l'heure où j'écris) sur la chaîne Youtube VerveTVGirl, et le premier est ici (toujours uniquement en anglais, sous-titres français non garantis pour le moment) :
Carmilla Saison 2 Épisode 1

13 juin 2015

NEWS : Décès de Christopher Lee


Sir Christopher Lee nous a quittés le 7 juin 2015, à 93 ans.
Sa voix nous manquera. Merci pour tout.

7 juin 2015

Jeu Vidéo : Bram Stoker's Dracula (version 8bits) (1993)



Comme très souvent dans ce genre de cas, il y a peu de rapports entre le film original et le jeu à part quelques références visuelles par-ci par-là. Pour le reste, il faut bien l'admettre, ce jeu vous hait : les sauts sont lents, limités en hauteur et imprécis, les attaques se déclenchent avec un léger délai, tout comme les commandes de directions. Tout ce que vous avez pour traverser un océan de plates-formes branlantes et de champ de piques et de lave, ce sont trois petits coeurs ridicules. Les items à récupérer se mettent à flotter en l'air pour vous échapper, et ne reviennent pas après une mort. En bref, ce jeu m'avait complètement traumatisée à l'époque, et il est encore pire que dans mes souvenirs : la maniabilité est épouvantable, le rendant artificiellement très dur, mais même sans cela les tableaux sont conçus pour un maximum de stress et de frustration. Très peu pour moi... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

24 mai 2015

Jeu Vidéo : Universal Studios Monsters : Dracula Crazy Vampire (2001)



Le jeu commence dans le château de Dracula, où l'on découvre des graphismes sympathiques. Dracula version mini est plutôt du côté « mignon » que « sanguinaire », mais son attitude et son animation d'attente sont fluides et expressives. Les décors sont évocateurs des univers horreur sans être surchargés, et considérant les capacités de la Game Boy Color, l'ensemble graphique est très réussi. Le but de chaque niveau est simplement de trouver la sortie avec plus de la moitié de la barre de vie ; il y a quelques énigmes qui traînent, avec des boutons à presser pour ouvrir des portes, mais rien de très stimulant en dehors du soleil à éviter. La maniabilité est bonne mais, le jeu est assez pauvre en items, et on finit par croiser toujours les mêmes têtes. En bref, Universal Studios Monsters : Dracula Crazy Vampire est une curiosité bien sympathique, mais de courte durée... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

15 mai 2015

FILM : Day Watch (2006)



L'univers de Day Watch ne décoit pas : le scénario est bourré de personnages, de concepts et d'idées, d'effets, de trames secondaires, d'informations en pagaille qui incitent à s'immerger dans l'histoire. C'est aussi son grand défaut, car le tout est lancé dans tous les sens, sans trame forte pour canaliser leur force, ce qui fait décrocher du film si on relâche son attention ne serait-ce que d'une seconde. L'esthétique du film est plutôt léchée, mais elle aussi très riche, ce qui ajoute à la confusion : on a une belle photographie sombre, organique, pesante, qui passe de plans très serrés et sensoriels à des effets explosifs qui en mettent « plein la vue ». En bref, Day Watch est un festival de bonnes idées, d'énergie et de belles images, mais il faudrait au moins le regarder dix fois avant de bien tout comprendre, ce qui est un sérieux frein à son appréciation... (-> voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

4 mai 2015

Jeu Vidéo : Dracula The Undead (1991)



Le jeu est un bon vieux « point-and-click » avec des verbes, ici exploité sur une console portable. L'image est assez pixellisée mais, pour l'époque, plutôt élaborée. L'ambiance sepia est très bien adaptée pour Dracula, et reste lisible. L'interface est un chouia délicate : on a un menu déroulant qu'il faut d'abord activer, puis faire défiler la liste des verbes, puis celle des objets avec lesquels on peut interagir. Oui, c'est laborieux, il faut prendre le coup. Dans l'ensemble il y a peu de pièces à explorer et peu de combinaisons d'objets à faire ; on passe bien plus de temps sur le mur d'escalade et dans le labyrinthe des catacombes. En dehors de ces deux épreuves, le jeu peut être bouclé en deux heures maximum... c'est juste ce qu'il faut pour faire une petite plongée rapide dans l'univers de Dracula quand on a un peu de temps avec sa console portable. En bref, Dracula The Undead est, bien qu'assez court, un jeu sympathique et nostalgique... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

25 avril 2015

Jeu Vidéo : Buffy The Vampire Slayer (2000)



La musique ressemble une nuée de mouches hyperactives et les graphismes des intros ont l'air dessiné à la souris Nintendo sur Mario Paint : voilà la première impression du jeu. C'est dommage, parce qu'on sent qu'il y a eu un effort pour rester dans l'ambiance de la série. Heureusement, l'écran d'action est lisible et les éléments sont reconnaissables, à défaut d'être beaux. Le jeu est un beat-em-up à la maniabilité moyenne, c'est à dire que Buffy avance à travers les décors et tabasse des vampires tout le long du chemin. Le gameplay des barres de stamina et de la vie est ingénieux, mais la disponibilité des items (quatre en tout) et l'inventivité des ennemis (tous codés sur le même modèle) sont vraiment pauvres. En bref, Buffy the Vampire Slayer sur Game Boy Color est un petit jeu, fait avec une bonne volonté évidente mais très peu de moyens, très court et probablement beaucoup trop facile.... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

9 avril 2015

BD : Je suis un vampire (1992)



Tome 4 : Ce tome est court, très très court ; rangé à côté des autres sur une étagère, il est presque insultant de voir à quel point la tranche est mince. J'ai été aussi légèrement déçue par la société secrète et son côté deus ex machina mystérieux. Mais bon, ce sont les deux seuls points faibles, bien mineurs, de ce volume. Le dessin est toujours percutant, la mise en page superbe et dynamique, portant parfaitement bien l'histoire jusqu'à sa résolution finale. Celle-ci, sans être surprenante, n'en est pas moins satisfaisante, et conclue avec brio le voyage de ces personnages attachants à travers cet univers sombre. En bref, j'aime... (voir la critique complète et la fiche)
Van Kiwing

25 mars 2015

Manga : Vampire Host (2004)



Un ancrage nerveux, des personnages expressifs et détaillés, un bel usage des contrastes et des textures, on plonge dès l'ouverture dans une ambiance graphique travaillée. Le volume est un one-shot, comprenant (seulement) trois épisodes au suspens bien mené et au mystère intriguant. L'humour est très présent, apportant une touche d'autodérision qui n'est pas de trop pour égayer un univers qui semble bien sombre. En bref, un manga plutôt beau et plutôt intéressant, dont le défaut principal est d'être trop court.
Van Kiwing

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15 mars 2015

Manga : Karin Chibi Vampire (2003)



Graphiquement, le manga est agréable, dans les standards du genre, sans être formidable. Le dessin est mignon (ça ne s'appelle pas « Chibi » pour rien), sans se démarquer véritablement du lot. Si les expressions des personnages sont un peu répétitives, la mise en page est assez dynamique pour porter le récit. Il est difficile de juger véritablement du scénario, qui sert plutôt d'introduction à l'univers dans ce premier volume ; les personnages n'ont pas vraiment le temps d'être développés non plus. Néanmoins, malgré une mise en place peu originale, Chibi Vampire nous offre quelques points prometteurs : la famille un peu spéciale de Karin, notamment, et le traitement du vampirisme qui attise véritablement la curiosité. En bref, Karin, Chibi Vampire est une lecture sympathique et prometteuse, qui je l'espère s'étoffera au fil des volumes.
Van Kiwing

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4 mars 2015

FILM : Abraham Lincoln Vampire Hunter (2012)



Je me méfie des « vampirisations » de figures historiques comme de la peste ; l'exercice est périlleux autant qu'il est ambitieux, et ne laisse pas beaucoup de marge d'erreur. Néanmoins, ici, il semblerait que la recette ait plutôt bien fonctionné : le scénario, qui paraissait assez délirant dans son mélange vampirique, politique, espionnage et historique, est intriguant et relativement bien intégré au contexte historique. Le XIXe, visité sur une bonne cinquantaine d'années, est bien rendu visuellement, tant pour les décors que les costumes ; la photographie est belle et soignée jusque dans les moindres détails. Le seul petit bémol, Benjamin Walker en Lincoln est un peu, je dirais, fade, particulièrement dans ses « jeunes » années (il est un peu mieux « vieux »). En bref, Abraham Lincoln Vampire Hunter reste un divertissement, mais c'est un bon divertissement.
Van Kiwing

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15 janvier 2015

BD : Déboires d'outre-tombe (1981)



J'aimerais vous dire que l'album est génial et tout à fait sorti de mon enfance, mais je n'arrive pas (ou plus?) à trouver les « chutes » vraiment amusantes. Vous savez, ces blagues qui ne sont vraiment drôles que lorsqu'elles sont dites par la bonne personne, avec exactement le bon ton et exactement le bon timing ? C'est un peu le cas ici : je vois bien les jeux de mots et le comique de situation, mais une barrière réside dans le manque de « voix » des personnages… comme quoi, faire rire, c'est vraiment aussi dur qu'on le dit.
Van Kiwing

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29 décembre 2014

FILM : Vampire University (2013)



Au cas où l'on en douterait encore malgré le fait que le poster du film soit une fille à gros seins : c'est une parodie, et une parodie sortie directement en DVD qui plus est. Ne commencez pas ce film en pensant que ce sera quelque chose de sérieux, ou de profond ; vous seriez bien déçu. Certes, le début est difficile, particulièrement au niveau des dialogues plombés de vannes pourries et lapsus inappropriés. Néanmoins, ces « gags » (si je puis dire, puisqu'ils ne sont pas vraiment drôles) ne sont pas là pour porter le film, mais curieusement pour dresser le portrait de personnages maladroits et incapables de répartie intelligente en situation de stress ; une fois qu'on s'est habitué à ce style particulier, cela devient un des charmes du film, d'autant qu'en réalité le niveau des acteurs est plutôt bon. L'histoire se tient plutôt bien (pour le genre, donc), et le détournement des clichés tant vampiriques que côté chasseurs vaut la peine d'être noté. En bref : on est très loin de Shakespeare, mais on passe un bon moment et l'effort d'originalité est appréciable.
Van Kiwing

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12 décembre 2014

BD : Vampire (200?)



Dans Vampire de Deo.R, le dessin est comme flou, très atmosphérique. Tout est suggéré par des contrastes, des taches, des bavures et des coulures d'encre. Le rendu apparaît par endroit comme sale et pourtant reste maîtrisé. Les personnages sont des ombres, des traces ; d'ailleurs, on ne différencie pas beaucoup le chasseur du vampire. Les décors sont à peine suggérés par quelques éléments, comme les rouages. Je comprends bien les intentions, et j'admets que cela colle tout à fait à l'univers, mais le dessin, un peu trop dans le sous-entendu, finit par être distrayant et rend l'histoire un peu difficile à comprendre. Cela entraîne plusieurs relectures, ce qui, me direz-vous, n'est pas forcément une mauvaise chose, mais peut être un peu frustrant quand on voit d'autres oeuvres plus révélatrices du talent de l'artiste.
Van Kiwing

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30 novembre 2014

Bande annonce : A Girl Walks Home Alone at Night (2014)

20 novembre 2014

BD : Rapaces T1 (1998)



D'emblée, j'ai été stupéfaite par la qualité du dessin, la richesse des ambiances, l'emploi parfait des couleurs qui vont de l'aquarelle suggestive à un feu d'artifice intense. Chaque vignette est une illustration à elle seule, et je pourrais passer des heures à détailler les décors. Du rouge-orange enflammé au bleu glacial, la palette accompagne bien le scénario qui, heureusement, est plus étoffé que ce que la couverture m'avait laissé supposer. Rapaces est un polar, une enquête de la police humaine sur les activités d'un duo vampirique lancé dans une vengeance sanglante et explosive dont le premier tome remplit parfaitement son rôle de d'accroche. Il ne me reste plus qu'à lire la suite !
Van Kiwing

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9 novembre 2014

WEBSERIE : Carmilla (2014)

Pour les anglophones, une webserie intitulée Carmilla, et inspirée par la nouvelle de J. Sheridan Le Fanu, a été lancée cet été. Il y a 29 épisodes d'environ 3 à 5 minutes (en anglais, certains épisodes sont sous-titrées en français, d'autres en anglais, je vous laisse découvrir cette nouvelle fonctionnalité de Youtube...) au moment où j'écris ce post, et de nouveaux sortent régulièrement : playlist des épisodes
La série se présente sous la forme de de video-blogs de Laura Hollis, apprentie journaliste, qui cherche à résoudre la disparition mystérieuse de plusieurs étudiantes du campus. Elle va vite découvrir que sa nouvelle camarade de chambre, Carmilla, n'est pas étrangère à ces phénomènes...

La formule est simple : un seul décor (la chambre de Laura et Carmilla), une poignée de personnages (principalement des filles, l'action se passant dans leur dortoir), un mystère surnaturel (avec à peine une pointe d'effets spéciaux, les scènes les plus spectaculaires se passant off-screen) et beaucoup de dialogues décalés. L'ensemble à le charme d'une production à tout tout petit budget mais passionnée ; il n'en fallait pas plus pour que ça fonctionne.
Van Kiwing


3 novembre 2014

LIVRE : Le Sorcier sans visage (2006)



On ne peut pas dire que l'univers soit pauvre... en fait, on peut tout à fait dire que l'univers est un peu trop riche. Soyons clairs : c'est un régal de retrouver toutes ces références, mais cette accumulation de péripéties les privent de tout impact sur l'histoire. Chaque personnage secondaire croisé vient avec toute un background, mais sans aucune profondeur ou personnalité pour bénéficier de ces recherches. En fait, les personnages principaux eux-même manquent d'espace pour s'exprimer, et cela se ressent jusque dans les dialogues, où tout le monde s'exprime de la même manière. Tout le monde est également blindé de pouvoirs surpuissants, et il n'y a jamais de conséquences graves ou de prix à payer pour cette débauche de capacités. L'histoire, tout aussi rocambolesque qu'elle puisse être, s'en trouve réduite à être distrayante, certes, mais décousue, vite survolée et vite oubliée.
Van Kiwing

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21 octobre 2014

FILM : Ultraviolet (2006)



Visuellement, je trouve le film plutôt pauvre, surexposé et flou, mangé par de grands aplats de couleur lumineuse. Le look futuriste est rendu par un graphisme lisse plutôt fade. Les effets sont faits avec si peu d'élégance qu'ils sont pénibles à regarder. Côté vampires, il semblerait que chaque mutation soit différente, mais rien de ce qui constitue la condition d'hémophage n'est clairement montrée dans le film, à part le look "ma tenue a été peinte sur moi" de l'héroïne. Celle-ci, au moins, est cohérente au sens où son manque d'expressivité est en accord avec sa voix monocorde. Certes, cette fille a des problèmes, dont le plus grave est d'avoir été affligée de dialogues aussi plats. Les thèmes centraux, comme la contamination et le jeu politique, balancent entre "incohérents" et "obéissent au besoin du script". Résultat, l'univers n'a aucun sens, aucune logique, aucune crédibilité. Que reste-t-il ? Les scènes de combat sont confuses, surchargées d'effets, chorégraphiées en dépit du bon sens, et surtout gagnées d'avance. Les « méchants » n'attaqueront jamais Violet tous en même temps, et ne la toucheront jamais. En résumer, Ultraviolet est un film moche, prétentieux, confus, creux, pompeux, et ennuyeux. Une fois passé le générique de début, vous pouvez éteindre le lecteur.
Van Kiwing

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12 octobre 2014

LIVRE : Sarah Deary, tome 1 : Mordue (2006)



Le Bitlit est un genre délicat ; plus il s'éloigne du fantastique pour aller vers des thèmes plus légers (les triangles amoureux, les meilleurs ami(e)s, les chaussures...) et plus il risque les pièges cumulés de l'horreur ratée et des romans sentimentaux rances. Ici, Sarah, l'héroïne, fonce tête baissée dans une brochette de clichés : elle est superficielle, grande gueule et têtue, prompte aux caprices (qu'elle regrette plus tard, c'est déjà ça), et se retrouve très vite au centre d'un triangle amoureux improbable. Ce qui sauve Bitten & Smitten, c'est son sens formidable du rebondissement. Les personnages (hors Sarah) sont un peu plats, les dialogues sont un peu faibles, mais grâce à cette incroyable faculté de proposer des situations surprenantes, et l'intelligence de ne pas se prendre au sérieux, le livre vous entraîne de chapitre en chapitre, et c'est une qualité rare.
Van Kiwing

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6 octobre 2014

Bande annonce : Only lovers left alive (2013)

27 septembre 2014

BD : Bram Stoker's Dracula (1993)



Être une adaptation officielle est la force et la faiblesse majeure du Comics. La source visuelle cinématographique, surtout les costumes et les acteurs, lui donne un bon atout de départ, mais la comparaison avec le film est inévitable et finalement, à mon avis, dessert l'artiste. Les pages qui fonctionnent le mieux sont celles en « ombres chinoises », des silhouettes qui suggèrent plus la scène dans son ambiance qu'elle ne décrivent les composantes. En gros plan, le dessin est ressemblant aux acteurs, mais leur rendu est terriblement statique, et comme « enfermé » dans la mise en page. L'histoire semble hachée et pressée par endroits, surtout les pages qui concernent les chasseurs de vampires. Globalement, le Comics est une version intéressante de l'histoire, mais trop fidèle, peut-être ? Était-ce bien nécessaire d'avoir la BD adaptée du film adapté du roman ?
Van Kiwing

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18 septembre 2014

BD : Tomb of Dracula (1972-1979)



Je ne peux pas dire que le résultat m'emballe particulièrement. La réalisation est correcte, bien qu'inégale. Le véritable problème vient du fait que la série n'a aucun enjeu important : malgré les formidables pouvoirs impliqués, aucun camp ne peut gagner et, de ce fait, la série ne peut pas se renouveler. Dracula passe son temps à être distrait et faire des petites choses (prendre le contrôle d'un bateau de croisière...) et les chasseurs qui le poursuivent ne valent pas beaucoup mieux. Heureusement que Blade est là : il est non seulement un superhéros de couleur, mais il est aussi ambigu, et le seul à être compétent de toute la série. Et ça, même sans savoir qu'il sera joué par Wesley Snipes un jour, c'est déjà excellent.
Van Kiwing

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10 septembre 2014

BD : Vampirella (1994)



Je ne sais pas ce qui est le plus affligeant dans cette mini-série, le scénario qui tient par un fil d'araignée (ie : Vampirella a un côté soooooooooombre, oooooooooooooh...) ou le dessin qui ne ressemble à rien. On peut ne pas aimer un graphisme (et j'avoue avoir beaucoup de mal avec les Comics depuis les années 1990) mais quand les yeux sont de travers et les corps sont déformés, il y a probablement un problème quelque part. Au moins, reconnaissons que le monstre de sang était très bien fait, donc tout n'est pas à jeter, visuellement parlant. Peut-être n'était-ce qu'un démarrage raté et que la série s'améliore par la suite ? On peut l'espérer.
Van Kiwing

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31 août 2014

BD : Vampirella (de 1969 à 1973)



Je dois avouer que j'ai grandi avec ce style de graphisme et celui de José Gonzales me « parle » toujours. Les décors, notamment, sont toujours très évocateurs du genre « horreur » ; châteaux en ruine, marécages embrumés, églises satanistes, cimetières... Certes, ses expressions faciales sont un peu figées, particulièrement en ce qui concerne les femmes (on pourrait presque dire qu'elles ont le même visage...), mais il y a quelque chose de poignant dans ses vignettes, même les plus hâtivement dessinées. La série est distrayante, mais répétitive et sommes toutes pas très prenante : les méchants ont tous le même livre des Crimson Chronicles (apparemment le dieu fou a un éditeur très actif) et tous vont faire les mêmes invocations, obéissant à la même ambition... qui se retournera contre eux au moment crucial. Cela dit, la lecture ne se force pas non plus (tant qu'on n'en lit pas trop à la suite...), et quelques épisodes contiennent des concepts vraiment intéressants, comme celui du tueur/tisseur de rêves.
Van Kiwing

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24 août 2014

BD : Je suis un vampire (1992)



Tome 1 à 3 : Le dessin est puissant, en aplats noir et blanc d'un fort contraste qui rappelle Hugo Pratt, mais en plus gore et en plus glauque. On y retrouve d'ailleurs le même genre de découpage et de mise en page des vignettes, très dynamique — on pourrait dire cinématographique — avec des effets de répétitions et d'inversion, et des personnages très expressifs. Si le graphisme est un bijou, l'histoire nous hante bien longtemps après la lecture. Orienté adultes (non seulement pour le gore, mais pour le contenu sexuel), le scénario reprend le thème classique de l'immortel coincé dans son corps à cause d'une malédiction, mais l'originalité se trouve dans le traitement « moderne » et dans le rôle ambivalent du soleil. En bref, je me suis régalée, le seul point plus faible de la série étant peut-être une « méchante » très caricaturale et pas des plus malines... mais en contexte, c'était peut-être inévitable. Maintenant il ne me reste plus qu'à trouver le dernier tome. ;-)
Van Kiwing

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4 juillet 2014

Bande annonce : Dracula Untold (2014)

28 avril 2014

LIVRE : The Knaveheart's Curse (2008)



The Knaveheart's Curse est le volume 2 de la série pour (très) jeunes adultes Vampire Island. L'histoire est certes courte (138 pages) mais bien menée, mêlant joyeusement humour, suspens et urban fantasy ; dans cet univers original, de "vrais" vampires s'opposent aux vampires hybrides buveurs de jus de fruits... ainsi qu'à quelques autres créatures (mais chut). L'héroïne est attachante, malgré (ou à cause de?) ses conceptions tout particulières des relations sociales, et son intérêt certain pour les détails un peu cra-cra. Résultat, c'est frais comme un smoothie acidulé et ça se laisse lire tout seul. Il est par ailleurs bien dommage que les romans d'Adele Griffin ne soit apparemment pas traduits en français ; moi en tout cas, je vais me trouver le volume 1.
Van Kiwing

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3 février 2014

SÉRIE TV : Moonlight (2007)



Une série de bonne qualité : on trouve quelques mauvais épisodes mais dans l'ensemble le niveau est dans la bonne moyenne, avec un cast qui fonctionne plutôt bien. Cela dit, le mélange vampire / détective n'est pas très bien géré : si la partie vampire apporte humour et originalité, la partie détective est bourrée de clichés, à la fois décevante et agaçante. Sont par ailleurs tout aussi agaçantes les voix off et les chansons cheesy qui accompagnent les fins d'épisode. Comme de nombreuses autres séries, Moonlight commence juste à trouver son ton à la fin de la saison ; dommage qu'elle n'ait pas eu l'occasion de continuer à s'améliorer.
Van Kiwing

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3 février 2014

LIVRE : L'Énigme des Vampires (1991)



Ce livre, d'une écriture confuse, semble vouloir convaincre le lecteur que tout ce qui touche aux vampires a une origine occulte, voire satanique, même les sources non judéo-chrétiennes. Par ailleurs, l'auteur nous fait la démonstration que tout peut être rattaché au vampirisme, même le conte le plus éloigné, si l'on détourne et complète un peu les textes traditionnels (avec la formule brevetée : « il n'est pas écrit qu’il fasse quoique ce soit de vampirique mais il est évident que c'est le cas »). Tout contexte historique ou culturel est ici soigneusement écarté de la réflexion au profit du sensationnel : les auteurs de fictions vampiriques du XIXe font tous partie de cultes magiques ! Vlad Tepes et Elizabeth Bathory sont de réels buveurs de sang démoniaques ! Les fantômes, les goules, les sorcières, les géants, les serial killers, les anges et même les héros celtes sont des vampires ! Je ne sais pas ce que Jean Markale (par ailleurs un expert en tout ce qui concerne la culture celtique) comptait accomplir avec ce livre, mais il aurait probablement mieux fait de s'abstenir.
Van Kiwing

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8 janvier 2014

FILM : Twilight : révélation partie 2 (2012)



Bon. L'histoire de Twilight n'est toujours pas le point fort de la saga, particulièrement Breaking Dawn dans lequel il ne se passe absolument rien ; l'ajout d'une bonne scène de combat était donc une idée de génie. Par ailleurs, le film est visuellement assez beau, avec une mention spéciale aux génériques/crédits de début et fin. On note aussi quelques efforts pour atténuer le ridicule d'origine et donner un peu de crédibilité au film : Bella n'a pas radicalement changé (et Kristen Stewart ne sait pas la jouer en colère de toutes façons), et Ren... Semne... Rsmeeneenee... leur fille mutante n'est pas la petite merveille parfaite qu'elle est dans le roman. Cela dit, certains pourraient trouver cela dommage, les occasions de rire sont tellement rares...
Van Kiwing

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8 janvier 2014

FILM : London Underground (2010)



Il y a bien peu de vampires dans cet essai relativement raté d'adaptation anglaise de Une Nuit En Enfer (si j'en crois la jaquette, tout du moins). On y trouve par contre une flopée de personnages indissociables les uns des autres (particulièrement les filles), des dialogues navrants et répétitifs, une histoire incohérente (et/ou incompréhensible, c'est vous qui voyez), et une représentation improbable d'un milieu underground (si j'en crois la présence superflue de strip-tease, combat de boxe et de trafic de drogue dans l'histoire). Ajoutez à cela des visuels plutôt pauvres, un montage poussif et des effets service minimum, et l'on se retrouve avec 90 minutes de perdues.
Van Kiwing

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18 novembre 2013

FILM : Bloodrayne (2005)



Bloodrayne est l'adaptation cinématographique du jeu vidéo éponyme sorti sur PC. Ironiquement, j'ai acheté ce jeu il y a des années en vue de le tester, mais il est encore sous plastique... Je peux donc absolument affirmer que si vous n'avez pas une connaissance minimale de cet univers, il y a peu de chance que le film ait le moindre sens pour vous. Néanmoins, cela reste un bon divertissement d'action dans un monde médiéval de fantasy-carton, pourvu d'une brochette d'acteurs appréciables, et l'on passe un bon moment.
Van Kiwing

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18 novembre 2013

Nouvelle : L'Étranger des Carpathes (1844)



L'Étranger des Carpathes est une nouvelle gothique d'une soixantaine de pages ; cela est bien suffisant pour une bonne histoire plutôt intéressante et assez bien amenée, malgré des personnages je suppose peu originaux pour nos standards modernes. On note effectivement certaines similitudes avec Dracula (en beaucoup plus simple quand même), dont il est une sorte de cousin éloigné (ou plutôt un grand-père, si on en croit les dates). Cela dit, les deux histoires appartiennent au même genre littéraire et se basent sur le même folklore de l'Est... coïncidence ou pas ; le mystère reste entier, mon cher Watson.
Van Kiwing

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18 novembre 2013

Beau Livre : Petite Encyclopédie des Vampires (2013)



La petite Encyclopédie des Vampires est exactement ce que la couverture annonce : un ouvrage compact et informatif, bien documenté et bien recherché, présenté dans un format d'articles courts et concis sur de nombreux sujets (grands noms, univers de l'Horreur, culture générale, anecdotes, sciences, folklore et mythologie, etc.). Ce qui n'est pas annoncé, c'est le ton à la fois léger et impertinent qui accroche le lecteur et le force à tourner page après page dans une fièvre vampirique assoiffée d'informations. Un petit livre providentiel qui se laisse dévorer.
Van Kiwing

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3 juin 2013

SÉRIE TV : Being Human (2008)



Saisons 1 à 3 : Being Human est une excellente série de la BBC, portée par des acteurs formidables et attachants. Certes, le rythme n'est pas toujours parfait, les trames entrecroisées ne sont pas toujours bien équilibrées, et le manque de moyens se fait sentir (au niveau visuel, l'ambiance sonore est très bonne), mais c'est toujours juste, drôle et tragique à la fois (et, attention, de plus en tragique au fur et à mesure que les saisons avancent...).
Van Kiwing

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3 juin 2013

FILM : Fright Night (2011)



Je suis toujours assez méfiante devant un remake, mais étant donné que je n'avais rien compris à l'humour du Vampire, vous avez dit Vampire ? (Fright Night) original, j'ai accueilli cette version avec plaisir. Ici le ton de comédie macabre est maintenu du début à la fin, bien servi par une mise en scène rythmée, de bons effets, une excellent ambiance sonore, et des acteurs appréciables. Je suis certaine que les puristes préféreront l'original, mais pour moi, celui-ci est bien plus accessible. Seul bémol : pourquoi des scènes entières sont-elles plongées dans le noir ? Ce n'est pas 30 Jours de Nuit...
Van Kiwing

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3 juin 2013

FILM : Laisse-moi entrer (2010)



Remake du film suédois Morse (Let The Right One In), Laisse-moi entrer se débarrasse des trames superflues de son prédecésseur pour se concentrer sur l'essentiel : la relation entre Owen et Abby. Exit également le côté malsain et lent des dialogues un peu décousus ; heureusement, la présence de Kodi Smit-McPhee garde une certaine étrangeté sur le film. Si la photographie est purement magnifique, cette version « américanisée » manque un peu en subtilité sur la musique, un peu envahissante par moments, et les effets trop visuels (un peu comme dans le remake de The Ring) là où le film aurait pu se contenter de rester uniquement dans la suggestion.
Van Kiwing

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3 juin 2013

FILM : Dracula : Pages From a Virgin's Diary (2002)



N'étant pas une habituée de la danse classique, j'ai un peu de mal à évaluer cette transcription du ballet Dracula de Mark Goddens. La première partie, centrée autour de Lucy, est la plus étrange : son cadrage rond façon vieux films est focalisé sur le visage de Lucy, et semble être conçu pour ne pas montrer la danse. Les plans sont surchargés d'images symboliques et de détails étranges (appréciables car généralement absents des adaptations de Dracula), comme une sorte d'hommage aux films muets de l'époque, mais pas particulièrement beaux (à moins que ce ne soit le montage qui empêche de les apprécier, je ne suis pas sûre). La deuxième partie, centrée autour de Mina, est beaucoup plus esthétique, avec une imagerie plus classique de scènes romantiques enfumées.
Van Kiwing

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3 juin 2013

FILM : Blood on the Highway (2008)



Un pastiche sympathique de films d'action vampiriques, où tout est du n'importe quoi au 2eme degré très assumé. Le script et les dialogues sont bons, peut-être un peu trop ambitieux pour certains acteurs (l'art du « Buffyspeak » n'est pas donné à tout le monde). Le film évoluant dans un genre que je n'apprécie pas plus que ça (qui tend vers le Gore Graphique Gratuit), je me contenterai de dire qu'il fonctionne parfaitement dans le créneau pour lequel il est conçu. Néanmoins, j'ai eu un véritable coup de coeur pour le choix des chansons de la bande originale, parfaite ambiance musicale pour un road trip à Vampireland.
Van Kiwing

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3 juin 2013

FILM : 30 Jours de Nuit : Dark Days (2010)



J'ignore si ce film est basé sur le même comic book que 30 Jours de Nuit, ou s'il a simplement été écrit vite fait sur un coin de nappe par quelqu'un qui voulait profiter du succès du premier film. Non seulement Dark Days assassine le concept du premier film (huis clos, vampires effrayants parce que sauvages et inconnus), mais son script, bien que très prévisible, n'arrive même pas à être cohérent : si les balles ne font que ralentir les vampires, pourquoi est-ce la seule méthode des chasseurs contre eux ? Pourquoi tous les chasseurs semblent penser que rester seuls dans la rue la nuit est une bonne idée dans un monde infesté de vampires ? Peut-être est-ce le jeu très moyen des acteurs, ou bien les personnages particulièrement mauvais (Amber, oh, Amber), mais il est bien possible que nous soyions en présence ici des pires chasseurs de vampires du monde.
Van Kiwing

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2 juin 2013

FILM : Les Avaleuses (1973)



Les Avaleuses est, comme son nom vous l'avait probablement dèjà suggéré, un film d'horreur érotique des années 70 qui a été conçu pour un public dont je ne fais de toute évidence pas partie. L'histoire tient en une ligne : une femme vampire se promène à poil pour... sucer. Décrit comme un film « onirique » et « à ambiance » (probablement parce qu'il n'y a aucune raison pour ses victimes de mourir de ça), avec musique de mauvais porno, plans flous d'auto-censure et des scènes de sexe gratuites à tout bout de champ, on ne peut pas s'empêcher de penser à Jean Rollin...
Van Kiwing

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2 juin 2013

FILM : La Morsure (Bitten) (2007)



Ce film n'est pas entièrement mauvais, mais j'aurais préféré qu'il choisisse entre parodie, drame, ou comédie dramatique, au lieu de passer de l'un à l'autre aux plus mauvais moments. À partir de 25 minutes relativement sérieuses de film, le personnage principal (joué par Jason Mewes, qui comme le reste du cast n'est pas mauvais, mais... mais) semble péter un câble, danse en nettoyant des cadavres et a en général des réactions si extravagantes par moments qu'on a du mal à le suivre dans son délire. Le parallèle entre le vampire et la drogue et les relations abusives est plutôt bien conduit, si on arrive à s'accrocher.
Van Kiwing

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2 juin 2013

FILM : Thirst (2009)



Ma première impression est que ce film est un peu trop long, et aurait peut-être gagné à couper une demi-heure d'exposition dans la première partie. L'histoire est lente (ce qui n'est pas un mal, mais qui n'aide pas), avec un rythme inégal (des scènes grandioses, d'autres ennuyeuses) et des passages d'humour macabre assez inattendu au milieu du drame. Néanmoins, l'image et la mise en scène sont magnifiques, l'histoire est prenante, les personnages bien construits (bien qu'un peu surprenants par moment pour un public européen, je suppose) et tous les acteurs impeccables, avec une mention spéciale à Ok-bin Kim. La deuxième partie du film est plus dynamique, aussi plus axée sur le gore et la violence, pour se conclure sur une scène attendue, certes, mais parfaite.
Van Kiwing

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2 juin 2013

FILM : Vampire at Midnight (1988)



La petite pointe d'originalité de ce film est de s'appuyer sur la notion de l'hypnose comme fil conducteur, et de s'y tenir en gardant les effets « vampiriques » très minimalistes ; le reste est un festival de clichés stéréotypés, de personnages stupides et de dialogues navrants. Je passe sur l'ambiance 80ies, les collants en lycra, les néons fluos, les rues sales pleines de fumée et la musique au synthétiseur, parce qu'on ne peut rien contre les modes qui vieillissent si mal.
Van Kiwing

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2 juin 2013

FILM : Blood/Curse of the vampire (1966)



Il faut se replacer en contexte : c'est un film philippin de 1970 à très, très petit budget. En tentant compte de cela, l'histoire est plutôt bonne (une malédiction familiale, doublée d'une histoire d'amour avec fantôme inclus), si ce n'est un peu prévisible, et les acteurs font ce qu'ils peuvent avec les dialogues limités. Leur mama vampire est assez intéressante, vivant comme un animal dans la cave, et certes les effets spéciaux sont limités à des spots alternativement bleus et rouges, mais c'est touchant. Bien sûr, il faut pouvoir ignorer l'horrible bande son d'époque, et passer sur le fait que les domestiques de couleur sont en fait des acteurs maquillés...
Van Kiwing

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1er juin 2013

FILM : Les dents de la nuit (2008)



Voilà un autre exemple de films qui me déçoivent : les comédies/parodies qui ne sont pas drôles, mais alors pas du tout, avec un humour reposant sur les jeux de mots mais dont les dialogues ne sont pas à la hauteur. Tout le reste peut être très bien réalisé — ce qui est le cas ici, le scénario est cohérent, l'image est sympathique, l'ambiance sonore très cartoon et les vampires assez zombies mais pourquoi pas — le film va tout de même se traîner et s'effondrer sur lui-même au bout de 15 minutes de gags plats et répétitifs. Reconnaissons tout de même que la séquence du générique façon dessin animé d'Halloween vaut la peine d'être vue.
Van Kiwing

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1er juin 2013

FILM : Dracula entre l'amour et la mort (2006)



Bon spectacle avec une grande recherche dans la mise en scène, misant beaucoup sur les décors tout en jeux de lumières aux couleurs très fortes, avec des projections d'images sur écran et en surimpression sur les murs. Les ambiances sont bien rendues, les costumes et maquillage assez recherchés dans un style très abstrait cyber-machin-chose, mais qui s'intègrent bien dans la direction post-apocalyptique du scénario. Les chorégraphies sont un peu limitées, à cause sans doute de l'absence de danseurs, mais ce n'est pas très grave. Mais alors, me direz-vous, pourquoi une note si basse ? Et bien, c'est à cause du grand piège dans lequel toute comédie musicale risque de tomber : les compositions ne sont... pas bonnes, pour rester polie. Les mélodies sont écrites pour refléter la performance vocale (qui est là, n'en doutez pas une seconde, les voix sont grandioses et les rôles bien interprétés), mais elles sont faibles, passe-partout, sans cohérence musicale à l'exception de quelques chansons, et plombées de paroles qui font saigner mes oreilles françaises. Je reconnais que la critique est facile, voire cruelle quand le reste est aussi bon, mais ce qui fait la qualité d'une comédie musicale reste pour moi la musique, et c'est sans concession.
Van Kiwing

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1er juin 2013

FILM : Daylight (2010)



Romance assez stupide, jouée par des acteurs de très moyens à très mauvais, et dont le scénario ne pouvait de toutes façons rien mettre en valeur. Les dialogues sont idiots, verbeux ou complètement à côté ; l'image est généralement sans intérêt et très sombre ; la musique électronique est au bord de l'agaçant ; et le budget ne permettaient clairement pas le moindre effet. En bref, à éviter : ce n'est même pas assez mauvais pour être drôle.
Van Kiwing

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1er juin 2013

FILM : Rise (2007)



Ne vous laissez pas berner par la jaquette du DVD : ce n'est ni un film d'action, ni un film gore. En revanche, si vous aimez les belles ambiances urbaines nocturnes, aux lumières artificielles glauques, et les films centrés sur l'interprétation du personnage principal (la fabuleuse Lucy Liu, entre autres), ceci est pour vous (à l'exception des « méchants », qui sont soit trop peu charismatiques, soit trop peu présents). Malheureusement la trame narrative semble aussi hésiter sur le genre du film et s'en trouve un peu décousue, passant de l'action de l'héroïne - concentrée sur la vengeance - aux flashback magnifiques de sa transformation, ce qui empêche le film d'être réellement prenant.
Van Kiwing

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1er juin 2013

FILM : Rencontre avec un vampire (1993)



Critique révisée : Le deuxième visionnage révèle un décalage complet entre les différentes trames du film. Premièrement, le vampire est traité comme une énorme parodie, jusqu'aux répliques parfaitement idiotes : il dort dans un bodybag, les effets sont terriblement mauvais, et chaque personne changée en vampire devient automatiquement hammy et cheesy. Deuxièment, la police est une énorme caricature, avec les clichés habituels de scène-obligatoire-dans-un-bar-de-strip-tease, mettons-en-équipe-deux-partenaires-qui-ne-se-supportent-pas et faisons-un-entraînement-à-la-Rocky-au-milieu-du-film. Enfin, la contamination de la demoiselle détective est traitée de façon très sérieuse, presque dramatique. Une actrice du film nous avait contacté pour nous faire part d'une incompréhension entre l'intention du script et le résultat voulu par le réalisateur, et je le vois parfaitement aujourd'hui. Le décalage est gênant, choquant (au sens où on ne sait pas si on doit prendre certaines scènes au sérieux ou non : celle où ils hurlent sur la victime d'une agression pour la faire parler m'a particulièrement frappé), et finalement très agaçant et ennuyeux.
Van Kiwing

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Autopromo d'Avant

Autopromo Livre : L'Île de la Groac'h (2015, Kindle)
« Azura, dix-huit ans, ne veut qu'une seule chose dans la vie : ne jamais avoir à quitter « son » île, en Bretagne, où elle vit avec ses grands-parents et à moitié dans un monde imaginaire. Jusqu'au jour où elle tombe, très littéralement, dans un monde d'apprentis Héros et de créatures mythologiques (ainsi que musicales) : leur île, si similaire à celle d'Azura, est lentement mais inexorablement dévorée par les Ombres. Azura va avoir besoin d'aide si elle veut sauver cette île, elle-même, ses nouveaux amis, et rentrer avant qu'il ne soit trop tard. Et dans quelle direction aller quand les chemins autrefois familiers se dérobent sous vos pieds ? »
Van Kiwing

Autopromo Livre : La Louve Aux Chansons (2013, Kindle)
Euphrosine, presque quinze ans, aide au service à l'auberge de son père, et espère bien qu'un jour son ami Renaud finira par lui montrer un peu d'intérêt. Un mystérieux sac rempli d'étranges peaux de bêtes va les entraîner, métamorphoses après métamorphoses, à travers la forêt sur les traces de créatures insoupçonnées. Pour Renaud, Euphrosine osera-t-elle braver le Jugement du Loup...? La Louve Aux Chansons met en parallèle romance, métamorphoses et quête d'identité dans un monde fantastique sur fond de chansons traditionnelles.
Van Kiwing

Autopromo Livre : Le Fil Des Pages (2009, 2e édition 2017)
À Tsyeloth, une ville entourée de désert au pied du pic de Jaal-Daar, la vie est trépidante, bruyante, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Indifférent à tout cela, Jalen Heaste est un doux rêveur, toujours un livre à la main. Néanmoins, si ses livres se mettaient à s'effacer page après page, il serait plutôt ennuyé. Et si, ensuite, les contes qui l'avaient bercé toutes ces années se retournaient contre lui, transformant la population en monstres dépourvus de mémoire, il serait vraiment temps qu'il fasse quelque chose... on pourrait finir par lui demander de sauver le monde. Et qui de mieux pour l'y aider que deux bibliothécaires, une parfumeuse, et une combattante douée d'un terrible potentiel mais qui ne sait pas lire...
(exclusivement au format Kindle)
Van Kiwing
Autopromo... MUSIQUE : Et puis tant que vous y êtes, vous pouvez aussi allez écouter le groupe Estrange Waters sur YouTube, ou acheter leur premier album demo sur Bandcamp
Autopromo 2016




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