CRITIQUES DE FILMS
Dracula
de John Badham, avec Frank Langella, Laurence Olivier, Donald Pleasence...
Histoire
Un bateau s'échoue sur la côte anglaise. A son bord, un seul survivant, l'étrange Comte Dracula. La fragile Mina succombe peu après sa rencontre avec Dracula, et bientôt la belle Lucy tombe à son tour sous le charme. Harker, Seward et Van Helsing vont devoir affronter le monstre séducteur...
Commentaire
| FILM GLOBAL |   |
HISTOIRE
(scénario, mise en scène) | |
SON
(musique, bande son) | |
IMAGE
(photographie, lumière) | | EFFETS
(decors, costumes, speciaux) | |
Ce curieux Dracula, alternant des plans en noir et blanc, en sépia, et en couleur, déroute le spectacteur avec ses ambiances délicates, qui baignent le film dans une impression d'irréalité, de rêve. Les vampires, bien qu'un peu décomposés, ont une vacillante allure fantômatique et de jolies lentilles noires intégrales du plus bel effet. L'histoire fait de sérieux raccourcis scénaristiques, s'inspirant de la pièce plutôt que du roman, mais met en valeur le côté sensuel et séducteur du Comte plutôt que le monstre. Tout allait bien jusque là, ils parlaient même hollandais et roumain, on allait même oublier que Harker est destiné à avoir l'air d'un abruti dans tous les films, que Van Helsing devrait être sous-titré tellement son accent est laid... mais voilà. Dracula par Frank Langella a l'air d'un pingouin. Un pingouin volant, qui plus est. Damned, on y était presque, pourtant!
Van Kiwing
Photos
© Mirisch/Universal
Photos 1 à 4 scannées par Kiwi.
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| Affiche |
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| Blocnote |
Durée : 109 min
Origine : UK / USA
Sortie : juillet 1979
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